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Du point de vue de la maîtrise de la protection légale des enjeux environnementaux, la décision est assortie d’un argument qui en dit long sur l’inculture écologique des « élites » françaises :
« Que, par ailleurs, les pétitionnaires ont prévu des mesures afin, notamment, de recouvrir de gazon près du tiers de la superficie totale du projet ; [...] que, par suite, la commission nationale a fait une inexacte application des dispositions rappelées ci-dessus en estimant que la réalisation du projet méconnaissait l’objectif de développement durable. »
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